Bon choix Jhonny! La règle numéro 1 consiste à toujours suivre les règles sans avoir à les transgresser dans la mesure du possible. C'est la règle qui m'a permis de gravir les échelons dans la société Dalsinoise et c'est aussi celle qui a fait de moi l'une des Commandante les plus efficace de notre Royaume. La minorité d'obstacle qui a essayer de me faire face c'est fait terrassée devant ma persévérance et mon sens du patriotisme.
Lorsque j'étais petite, ma mère était Commandante des armées, alors elle ne cessait d'en parler, comme si sa vie était focalisée sur ses antécédents militaires. Rapidement, j'y ai pris goût et ai décider d'en faire un centre d’intérêt. Lors de mes débuts, mes intérêts et mon investissement personnel furent bouleversés par une multitude de questions, qui me semblaient toutes plus pertinentes les unes que les autres. Je n'avais aucune idée de qui pouvait bien être mon père. Il faut dire qu'il y avait tant d'hommes à la maison. Mais qu'importe ?
Je me fis une raison et pris la décision d’exceller dans n'importe quel domaine que je toucherais.
Je serais une bretteuse hors pair et une tireuse d'élite à l'arc. Quiconque s'opposera à moi sera détruit ou mis devant un tribunal.
C'est ma mère qui pris la peine de m’entraîner. Plus je progressait, plus mon enthousiasme grandissait. J'avais soif d’expérience, toutes les journées se ressemblaient mais chacune d'elles me rapprochait de plus en plus de mon but ultime...
Le matin, je me réveillait pour pouvoir avoir un cour à l'épée qui sera suivit d'un entraînement à l'arc. Après le repas du midi, ma concentration était mise à l'épreuve avec l'apprentissage de l'éloquence et du savoir vivre d'une femme parfaite. Par la suite, lorsque j'en eu l'âge, ma mère m'apprit à séduire et à satisfaire ceux dont je pouvais tirer un avantage. Elle m'apprit aussi à garder mon sang froid dans n'importe quelle situation afin de ne jamais tressaillir et risquer de dévoiler ses véritables sentiments.
Les entraînements me prenaient tellement de temps que je finis par perdre le réel sens de ce qu'était la vie en société. Pourtant, ils ne m'empêchèrent pas de faire connaissance avec l'une des personne les plus adorable que je n'ai jamais rencontrer. Son nom était Camille, à l'époque, elle n'était encore qu'une jeune apprentie couturière. Notre amitié fût lié par une passion que nous avions en commun, la couture de luxe. C'était une personne emplie de gentillesse, mais aussi de timidité. Au fil du temps , je finis par me rendre compte que ma présence la rendait aussi bien heureuse qu'elle la complexait. Sûrement parce que son embonpoint assez conséquent l'empêchait de se voir porter les robes qu'elle me fabriquaient. J'évitais d'évoquer le sujet pour lui éviter de faire paraître ses horribles rougeurs sur le visage lorsqu'elle était gênée. Mais malgré ce problème, elle devint ma meilleure amie. Elle était la seule avec qui j'arrivais à passer du temps sans que je ne joue un rôle qui ne sois pas le miens...
Ma mère surveillait de prêt notre relation, parce qu'en réalité, elle avait honte que je traîne avec une personne aussi « repoussante » que Camille. Plus je sortais avec elle, plus les entraînements étaient durs et intensifs. Mais pour rien au monde je ne laisserait tomber ma meilleure amie. Sa perversité me nuisait de plus en plus. Elle n'était pas seulement focalisée sur l'art du combat, je l'appris suite à la plus étrange découverte que je ne fis jamais. Tout les soirs, elle faisait monter ses cinq maris dans sa chambre pour se laisser emporter dans des ébats aussi cruels qu’obscènes. Elle me dégouttait de plus en plus... et les relations avec les hommes qu'elle entretenaient aussi...
Heureusement que Camille était toujours là pour me remonter le moral. Nous rigolions comme des folles.Mon entrée à l'école militaire l'inquiétait plus qu'autre chose. Qu'allait-elle devenir sans sa meilleure amie ? Elle avait l'air si triste. C'est au moment de notre séparation que je pris mon courage à deux mains que lui vola son premier baisé. Était-ce de l'amour ou bien tout simplement de la pitiés ? Elle ne tarda pas à donner des réponses à mes questions lorsque qu'elle me rendit la pareille en me prenant dans ses bras tout en m'embrassant langoureusement. J’étais finis par tomber amoureuse de Camille tout en étant consciente que j'avais violer les règles du Royaume...
Notre amour caché me donna une force telle, que je me demandais si ma réussite militaire était due à l’entraînement de ma mère ou de l'affection que me portait Camille. C'est après plusieurs dizaines d’années que mes actes finirent par me mener à mon but ultime, j'étais devenue la subordonnée de ma mère. Ma mère était fière de moi, et me présentât pour la première fois son amour en me faisant offrande de son épée et de son arc. J'étais la femme la plus heureuse du monde et j'allais enfin pouvoir retourner auprès de mon amante secrète...
Mon enthousiasme était tellement puissant qu'en arrivant chez le tailleur, s’enfonça la porte d'un grand coup de pied, pour ensuite monter dans l'atelier et serrer Camille dans mes bras. Mais à mon plus grand désespoir, une autre apprentie avait pris sa place... où pouvait-elle bien être... ? C'est la tête baissée que je retourna dans la demeure familiale, pour fêter mes exploits avec ma mère. La table était parfaitement présentée, et seulement deux chaises étaient placées sur la périphérie de la table. Peut-être que cette chaise était destinée à Camille, et que ma mère souhaitait me faire une surprise...J'eu la réponse à ma question lorsque ma mère s'assit sur la chaise en face de moi et m'invita à trinquer. Le vin semblait de qualité, je ne peina pas à en prendre quelques gorgées avant de déposer mon verre.Cependant, mes paupières devinrent de plus en plus lourdes...
C'est dans une cave, et attachée contre un mur que je ré ouvrit les yeux... En face de moi se tenait Camille, dans la même position que moi... Elle était totalement dénudée, son corps présentait dans cicatrices marquées par plusieurs rougeurs. Elle ne cessait de pleurer, je fis mon possible pour tenter de la calmer et essayer de comprendre ce qui se passait, lorsque soudain, la voix de ma mère raisonna dans la pièce...
« Tu pensait sincèrement que je ne m'en rendrais pas compte, Ashley... ? »Elle était accompagnée de ses cinq maris, tous tenus en laisse, comme des chiens affamés. Ils n'étaient pourvu que d'un pagne et d'un bandage qui leur couvrait les yeux. J'avais une vague idée de ce qu'elle comptait faire à mon amante devant mes yeux...
« Ne t'en fait pas ma chérie, je suis la seule à être au courant de tes tendances perverses envers cette fille... Je vais réparer tes erreurs devant tes yeux pour que tu comprenne que ce que tu a fait, c'est mal... tu comprend Ashley... ? »Je m’agitait dans tout les sens en suppliant à ma mère de ne faire aucun mal à Camille, mais c'était trop tard... les chiens étaient déjà lancés... Après avoir été violée, ma mère pris la peine de s'avancer vers elle , munie d'un coffret remplis d'outils de torture. Elle lui fit les choses les plus horribles que l'on puisse faire à quelqu'un... ses yeux... sa bouche... tout son corps fût mutilé devant moi... après quelques heures, ses hurlements cessèrent et mon esprit sût brisé... Camille était morte. Je me fis la promesse de la venger, avant que ma mère ne me lave le cerveau pour me faire comprendre qu'aimer une femme, c'est mal... mon esprit fût violé...
les journées s’enchaînèrent, jusqu'au jour où j’eus l'occasion d'assouvir ma vengeance. Je m’invita aux petites sauteries nocturnes de ma mère accompagnée d'une dague dissimulée derrière ma cuisse. Après une longue heure de simulation, je tua ma mère, ainsi que tout ses conjoins. Pour ne laisser aucune preuve, je mis feu à notre demeure afin de faire croire aux autorités que j'étais la seule survivante d'un accident dû à une cheminée défaillante. Le tout passa comme dans du beurre et je fût promu Commandante à la place de ma mère. Ayant hérité de son statut et de sa réputation, je ne eu aucun mal à me démarquer et à prouver ma bonne volonté.
Après avoir traverser tant d'épreuve, il était temps pour moi de prendre quelques vacances. Il y a tant d'endroit à visiter...